Quand le sucré est un signal de l'organisme et non une faiblesse de la volonté : une approche nutritionnelle

Pourquoi avons-nous envie de sucreries même après un déjeuner copieux ? Pourquoi l'énergie diminue-t-elle et la faim revient-elle trop vite ? En Europe, de plus en plus d'experts examinent ces questions à travers le prisme de la relation entre l'intestin, le cerveau et le métabolisme. L'addiction au sucre n'est pas seulement une question d'habitudes, mais aussi de signaux physiologiques du corps.

Qu'est-ce qui se cache derrière les envies incontrôlables de sucreries ?

Si vous ressentez régulièrement une envie compulsive de manger quelque chose de sucré, il convient de réfléchir aux raisons de cette envie. Parmi les facteurs possibles :

• Troubles de la tolérance au glucose et résistance précoce à l'insuline ;
• Charge fongique cachée, en particulier le candida ;
• Déséquilibre du microbiote intestinal et perméabilité accrue des muqueuses.

L'intestin comme second système nerveux

La science nutritionnelle moderne considère le tube digestif comme un système neuroendocrinien indépendant. Plus de 90 % de la sérotonine est synthétisée dans l'intestin. La microflore affecte directement nos habitudes alimentaires et notre état émotionnel. Lorsque le tube digestif est dominé par une flore fongique, la production de toxines augmente, ce qui affecte le cerveau et provoque des envies de sucre en guise de "compensation".

L'infestation fongique : la cause cachée de l'addiction au sucre Le Candida et les champignons de type levure se nourrissent de glucose. Plus l'alimentation est riche en sucre, plus la charge fongique est active. C'est un cercle vicieux : les champignons provoquent des envies de sucre et le sucre stimule leur croissance. En outre, les toxines fongiques augmentent l'inflammation et nuisent à la digestion.

Résistance à l'insuline : lorsque les cellules ne reçoivent pas de glucose L'excès de glucides et les pics de glycémie rendent les cellules moins sensibles à l'insuline. Il y a suffisamment de glucose dans le sang, mais les cellules ne le reçoivent pas. En conséquence, le cerveau perçoit cette situation comme un déficit énergétique et réclame à nouveau des sucreries. Cela crée un cercle vicieux qui conduit au prédiabète et aux troubles métaboliques.

Les solutions des nutriciologues : une stratégie pour l'UE

En Europe, les nutriciologues mettent l'accent non pas sur l'interdiction, mais sur le rétablissement de l'équilibre. Un programme complet peut inclure

• Soutien antifongique et désintoxication :

  • Silver Shield - antiseptique naturel, soutien gastro-intestinal et lymphatique, aide à réduire l'inflammation et la charge fongique.

• Régulation de l'appétit et métabolisme des glucides :

  • Fat Grabbers - réduit les fringales, aide à contrôler l'appétit.

  • Capteurs de glucides - réduit l'absorption des glucides, stabilise le taux de sucre dans le sang grâce au chrome.

• Détoxifie et restaure la muqueuse intestinale :

  • Chlorophylle liquide - améliore la microflore, réduit l'acidité, favorise la cicatrisation des muqueuses.

• Restauration de la microflore :

  • Bifidophilus Flora Force - maintient l'équilibre du microbiote, réduit l'inflammation, améliore l'axe cerveau-intestin.

Le sucré n'est pas l'ennemi, c'est le langage du corps. Écoutez ce que votre corps vous dit et abordez la récupération avec sagesse.

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